Chaque année, la surprise est la même : Eh ! mais je suis en vie !
Un titre qui ne dit rien, de prime abord mais qui, mis en rapport avec l'illustration de couverture (un dessin vaguement médiéval, une gragouille un peu grotesque) intrigue et attise la curiosité.
2004, j’entretenais une correspondance passionnante avec un homme qui, à défaut d’être mentalement équilibré, s’enflammait pour des sujets assez peu orthodoxes. Une relation enrichissante pour l’écriture, qui m’a apporté une certaine liberté sur les thèmes et semble avoir, du côté de mon interlocuteur, réveillé une inspiration pour le moins défaillante.