Il y a des livres dont il est difficile de parler et qu’on laisse reposer, au risque de les oublier. « J’aime et j’aime pas en même temps », disais-je à une amie, il y a six mois, alors que j’approchais de la fin de ma lecture d’Eau Douce.Comment résumer cette histoire ?C’est l’histoire d’une fille possédée par des démons qui estiment être mal passés d’un monde à l’autre. Le livre donne la parole à la fille, mais aussi à certains de ses démons.Je n’avais pas lu, alors, la présentation de l’éditeur, qui est la suivante.
Lire Une Poupée en Chocolat tout en m’occupant du lancement dans le monde de mon dernier livre, L’Évangile selon Myriam, était un véritable défi.
Début octobre 2019, diplôme de psychologie en poche, épuisée par les efforts fournis pour la session d’examens de septembre, le mémoire, sa soutenance, par l’absence de vacances et la rentrée des classes, je faisais le point sur l’avancement de mon projet littéraire en cours.Un concept un peu fou, 43 chapitres prévus, 6 à revoir, 14 à écrire de A à Z, soit près de la moitié du manuscrit à transférer du monde de «Je vois à peu près ce que je veux en faire» à l’état «Voilà, c’est écrit.»
Le titre du roman de Maryse Condé que j’ai lu, il y a quelque temps, m'a fait sourire. C’est toujours une mauvaise idée de traverser la mangrove. On peut la contourner, on peut, comme l’ont fait les promoteurs aux Antilles, la combler, mais aucune de ces opérations ne suffira pour échapper à la lourdeur humide et fétide de la mangrove.
Retour de la plage, je me suis baignée, je marche un peu flottante.